Presedintele Traian Basescu a declarat, astazi, in cadrul conferintei de presa de la finalul Consiliului European de la Bruxelles, ca Romania a reputat o victorie prin includerea in randul statelor ce au semnat Tratatul de stabilitate fiscala, apreciind, de asemenea, ca acest document trebuie ratificat cat mai repede.
„Noi considerăm un succes faptul că România este parte la acest Tratat, având în vedere că am fost printre cei care au reacţionat cel mai aspru la momentul la care a apărut în forma lui iniţială şi viza strict statele zonei non-euro, iar obiectivul nostru a fost să fim parte a acestui tratat pentru simplul motiv că ne este uşor să ne încadrăm în exigenţele lui, iar integrarea în zona euro va fi mult mai uşoară, vom fi în mod cert mult mai pregătiţi. Cei de acasă, politicienii, nu au decât să facă ce vor cu acest tratat. Eu consider că trebuie ratificat cât mai rapid”, a precizat Traian Basescu.
Potrivit Agerpres.ro, seful statului a subliniat ca semnarea respectivului document este o chestiune vitala si ca Tratatul nu trebuie transformat intr-un subiect de dezbatere fara forme sau fara fond. De asemenea, Traian Basescu a punctat ca el are constiinta impacata ca si-a facut datoria si ca a creat conditiile pentru romani. „Mai departe este treaba Parlamentului si a politicii publice din Romania ce fac cu acest Tratat”, a completat Basescu.
Subscriu comandante &mark!O zi buna!
Si uite așa reuseste Presedintele nostru să ii scoată din minti pe opozanti!NU SE MAI POATE FURA!O bere si doi cirnăciori,cu ingăduință,odata la trei luni!
S-a scris incă o pagină de ISTORIE ce rămane in arhiva europeana,sub semnătura lui TRAIAN BASESCU-PRESEDINTE AL ROMANIEI!Desi Ponta l-a trimis pe Traian Ungureanu la Bruxelles TOCMAi ca această pagină de istorie să nu contină semnătura TRAIAN BASESCU!
Voleur. Mi-ai luat vorbele din gânduri. Subscriu.
Acest acord fiscal stopeaza posibilitatea de a mai face pomeni electorale sau mariri ale efectivelor bugetare . USL-ul vede rosu in fata ochilor ei sperau sa ajunga la putere si sa bage mana adanc in buget sa mareasca pensiile si salariile sa arate ca ei sunt buni si darnici iar PDL-ul un tiran , acum insa or sa isi franga gatul , or sa vina la putere si-o sa vada lumea ca nu-i nicio branza .
Exact le texte,
Le nouveau pacte budgétaire signé par vingt-cinq pays européens lors du sommet européen des jeudi 1er et vendredi 2 mars à Bruxelles vise à renforcer la discipline commune à la suite de la crise de la dette.
„Règle d’or” budgétaire
Les pays s’engagent à avoir des „budgets équilibrés” ou „en excédent” sur un cycle économique, soit dans le détail un déficit structurel – hors éléments exceptionnels et service de la dette – d’un niveau maximal de 0,5 % du produit intérieur brut (PIB). Les pays qui affichent une dette globale modérée, c’est-à-dire „nettement en dessous de 60 % du PIB”, auront droit à un déficit structurel toléré de 1 %.
Correction automatique
Chaque Etat devra lui-même prévoir qu’un „mécanisme de correction soit déclenché automatiquement” en cas de dérapage important par rapport à cet objectif, avec l’obligation de prendre des mesures dans un certain laps de temps.
Inscription, „de préférence”, dans la Constitution
La règle d’or devra être inscrite „de préférence” dans la Constitution. Mais ce n’est pas une obligation. A défaut, un texte de loi suffira si sa valeur juridique garantit qu’il ne sera pas remis perpétuellement en cause. L’Allemagne a dû accepter cette concession, car de nombreux pays refusaient de modifier leur Constitution. Malgré cette précaution, l’Irlande a annoncé la tenue d’un référendum sur le sujet.
Sanctions de la Cour de justice européenne
La Cour de justice européenne vérifiera la mise en place des règles d’or. Elle pourra être saisie par un ou plusieurs Etats et au terme du compte infliger une amende allant jusqu’à 0,1 % du PIB du pays fautif. L’Allemagne voulait aller plus loin en confiant à la Cour le pouvoir de sanctionner aussi les dérapages des déficits et de la dette des pays. Elle a dû reculer face à l’opposition de la France – mais n’a pas renoncé.
Sanctions quasi automatiques pour les déficits excessifs
La limite tolérée pour les déficits publics annuels reste à 3 % du PIB. Ce dérapage doit être temporaire. Désormais un pays qui violera cette règle sera plus facilement exposé à des sanctions quasi-automatiques. Là encore, certains pays – Pays-Bas, Allemagne ainsi que la Commission européenne – auraient voulu aller plus loin en appliquant cette règle également à la surveillance du niveau global de la dette.
Application du traité
Il a été approuvé par vingt-cinq des vingt-sept pays de l’UE. La République tchèque a finalement rejoint la Grande-Bretagne dans le front du refus. Il commencera à s’appliquer dès que douze Etats l’auront ratifié. L’Irlande a prévu d’en passer par un référendum risqué. Mais la menace d’un arrêt de l’aide financière européenne au pays en cas de rejet – un lien a été explicitement inséré dans le traité – devrait peser dans le choix final des électeurs irlandais.
„Lord of the dance” trebuie sa ii invete pe irlandezi sa tropotzeasca bine la referendumul la care au de gand sa apeleze, daca vor sa mai pupe sprijin financiar european … 😛
Oare Englezii si Cehii stau asa de bine incat sa isi permita sa nu ratifice si ei Tratatul de stabilitate fiscala??? … ma intreb si eu …
Cat despre Romani, la cat au strans cureaua si la ce jonglerii face Isarescu cu cursul de schimb al leului, cred ca nu mai e nevoie de nici un sacrificiu … in schimb parlamentarii trebuie sa renunte la greva si somnikul „dolce far’niente”, si sa se apuce serios de treaba ca sa ajusteze legislatia la cerintele Tratatului …
Pauza s-a terminat, asa ca Tontonel si Crizel, faceti-va si voi ca lucrati! … 😀
Iata textul exact cu ROMANIA SCHENGHEN
Les dirigeants des pays de l’UE ont décidé jeudi soir de reporter à septembre la décision sur une entrée éventuelle dans l’espace Schengen de la Roumanie et de la Bulgarie. Ces pays vont ainsi rester encore un moment bloquées à la porte de cet espace sans passeport.
Il est prévu qu’une décision à ce sujet sera prise “en septembre 2012″, a indiqué le président de l’Union européenne, Herman Van Rompuy, à l’issue de la première journée du sommet européen. D’ici là, l’Europe va aider Bucarest et Sofia à identifier les mesures devant permettre leur adhésion à cette date.
Les deux pays s’attendaient à essuyer un refus jeudi en raison de l’opposition des Pays-Bas qui estiment qu’ils n’ont pas fait assez de progrès dans la surveillance de leurs frontières et dans la lutte contre la corruption. Mais ils espéraient pouvoir obtenir au moins une garantie de feu vert cet été. En fin de compte, la décision est reportée à septembre.
Unanimité nécessaire
Les adhésions à Schengen de Bucarest et Sofia doivent être approuvées à l’unanimité des pays membres et ne peuvent être dissociées. Tout problème rencontré par un des candidats sanctionne donc l’autre. Et selon des diplomates, les réserves néerlandaises portent surtout sur la Bulgarie.
Interrogé pour savoir combien de temps les Pays-Bas maintiendraient cette position, le chef du gouvernement néerlandais a prévenu: “aussi longtemps que nécessaire”.
“Tout est entre les mains de la Roumanie et de la Bulgarie”, a-t-il dit, les exhortant à prendre des mesures pour améliorer “l’Etat de droit, la lutte contre la corruption et l’indépendance de la justice”.
Selon un diplomate européen, il faut à présent attendre que la Commission européenne publie un nouveau rapport cet été sur la situation dans les deux pays pour espérer voir bouger les Pays-Bas.
cordialement Stefan!